Algok, a bloodrager Half-Orc, descendant from a powerful abyssal bloodline, that travel accros the seas, the mountains and even to hell and back to find his origins. With the focus on staying alive at all cost.

Né dans la plus lointaine des îles d'Oros, il n'a jamais connu sa mère, qui serait morte lors de sa naissance. Il fut élevé par son père orc dans une tribu.

Il su que son père a déjà voyagé, offrant ses services de guerrier au plus offrant. On lui avait raconté que du jour au lendemain il serait revenu sur les îles avec un fils nouveau-né. Un an plus tard, une guerre lointaine commença et plusieurs orcs de la tribu partirent participer à cette guerre, autant pour des raisons de richesses que pour l'attrait de champs de bataille sanglant aux dimensions inconnues lors des conflits entre tribus. Son père résista pendant des années à repartir, mentionnant une promesse qu'il avait faite à sa mère. Pourtant, un jour alors qu'Algok avait seulement 10 ans, son père repartit disant que son fils serait bientôt un homme et qu'il pouvait se débrouiller seul. Son père ne revint jamais et Algok, sans savoir s'il était mort ou encore en service dans cette guerre, dû apprendre à vivre par lui-même.

Ce n'est qu'après ses 10 ans qu'il devint évident qu'Algok n'était pas un orc à part entière. Bien que son père l’éduquait ainsi et qu'il semblait presque suivre la même évolution qu'un mâle orc normal, il était plus petit et frêle que la moyenne de ses semblables. Bien qu'il avait la même couleur verdâtre de peau, les mêmes cheveux et canines pointues, ses yeux bleus, sa croissance lente et son tempérament moins agressif le fit vite devenir un souffre douleur. Il grandit donc sans attachement familial particulier. Seul un autre orc, Koreg, lui aussi frêle et dernier de sa famille, lui tenait compagnie pendant des années pour subsister au sein de sa tribu par eux-même.

Il devenu réservé, contenant sa rage, et passait beaucoup de temps à tenter de comprendre sa nature différente du reste de sa tribu. Il démontrait des traits peu communs au sein de ces barbares : compassion, attachement, protectionnisme, sans attachement envers les richesses ou la peur de la magie que les combattants revenant de la grande guerre parlaient tant. Il en était plutôt fasciné et curieux. Koreg, lui, bien que faible et peu redoutable, démontrait clairement les mêmes caractéristiques que ses pairs.

Algok arrêta finalement sa croissance à 19 ans, des années plus tard que ses confrères : ce qui lui permis de les rattraper et finalement de les surplomber de sa stature et de sa constitution.

Un seul ami

La même année, lors d'une attaque d'une tribu rivale pour le territoire, Koreg s'est lancé dans la bataille sans hésitation et fut décapité sous les yeux d'Algok qui ne participait pas à ces combats triviaux pour lui. La vision de son ami tombant au combat éveilla une rage inconnue d'Algok, venant du plus profond de son être, coulant dans ses veines. Sa stature impressionnante se crispa et il bondit mains nues vers le meurtrier de son ami en hurlant de rage. Ce n'est qu'après cet instant de rage qu'il réalisa que tous les autres avaient arrêté de se battre et l'observaient. Pourtant, cette rage ne leur était pas inconnue, non? Ce n'est que lorsqu'il regarda au sol qu'il vit son adversaire lacéré, mort, le thorax ouvert. Le plus étrange était la transformation d’Algok : ses mains étaient déformées par d'énormes griffes acérées qui commençaient déjà à se rétracter tout comme ses canines dont il prit finalement connaissance de leur croissance.

Les élans de rage n'étaient pas inconnus de sa tribu d'orcs, mais sa transformation physique ne pouvait que venir d'une manifestation de magie et tous désormais le fuyait et n'osait pas le rencontrer. Pendant 3 ans, il demeura en exclusion des tribus, tentant de comprendre ses origines et quelle était cette énergie, cette magie, cette source ou cette malédiction qui bouillonnait en lui.

Lorsque la grande guerre prit fin et que son père ne revint pas pour répondre à ses questions, il partit donc sur les traces de son père, étant la seule personne ayant peut-être une partie des réponses, mais aussi sur celles de sa mère. Son père n’avait jamais parlé d’elle, donc il semblait évident que la différence d’Algok provenait du côté de sa mère. Il avait alors 21 ans lorsqu’il quitta les îles clandestinement sur un navire pour rejoindre le continent.

Los Toros

De peine et de misère, il apprit que son père avait été mercenaire avant la guerre, mais que sa trace était depuis perdue. Toutefois, il a pu réaliser lors de ses voyages que les combattants sont ceux les plus en contact avec la magie. Il chercha donc des réponses à sa transformation et bien qu'il n'ait pas participé à beaucoup de conflits, le simple fait d'avoir grandi avec les orcs lui donna quand même une affinité plus forte pour le maniement d'armes et le combat, sans compter son physique imposant dans un monde principalement constitué d'humains.

Il fut donc recruté par Los Toros, une guilde de mercenaires aventuriers, qui pourrait certainement éventuellement l'aider dans sa quête. C'est ainsi qu'il débuta son aventure avec Finkas ‘Petit’ Pieligero, Kalistar Vardarianna, Edmond de Los Toros et Ascelin Dubois.

Sa mère, une démone

Après une série d'aventures, le groupe se retrouva à La hermosa rosa, l'arène où Edmond avait été prisonnier si longtemps. Malheureusement, durant un combat épique reproduisant les fameux affrontements sauvages d'antan, Algok fut atteint mortellement par un piège dans l'arène.

Étrangement, ce fut l'élément déclencheur pour qu'il puisse finalement rencontrer sa mère : une succube à la tête d'un immense laboratoire où plusieurs des "frères" et "soeurs" d'Algok étaient présents dans des cuves vitrées. L'origine d'Algok était donc démoniaque, ce qui expliquait ses pouvoirs. Désireux de survivre et de retourner auprès de ses compagnons, Algok accepta inconditionnellement l'offre de sa mère qui voulait faire un "test" avec son fils. Après une forme de torture des plus étranges, sa mère accoucha de l'enfant d'Algok et le greffa à l'intérieur de son corps, produisant ainsi un lien permanent entre ce dernier et un daemon.

Après tout cela, Algok rencontra son père qui était de toute évidence prisonnier en enfer. Le dernier acte que sa mère lui demanda était de se libérer de son côté mortel qui lui restait, son côté orc, en éliminant l'âme de son père de façon permanente, ce qu'Algok fit avec plaisir sachant que ce dernier l'avait abandonné à son sort sans jamais lui donner d'explication.

Résurrection

Algok réapparu à l'intérieur d'une boule de feu à La hermosa rosa, son corps permanemment transformé à la suite de la résurrection, son âme marquée par le daemon à l'intérieur de lui. Toutefois, il ne savait rien de tout cela pour le moment. La seule chose qu'il sentait était qu'il ne lui restait que peu de temps avant que la chose à l'intérieur de lui ne se manifeste et demande à être nourri. Le groupe décida donc de partir vers Berne en espérant pouvant y trouver des réponses, et possiblement aussi des solutions.

Après plusieurs soirs à méditer et à être ausculté par Kalistar, Algok compris qu'il devrait éventuellement laisser la place au parasite en lui s'il voulait regagner le contrôle complet de son être, entrer en symbiose au lieu de tenter de contrôler ce qui était en lui. Pour faire cela, il devrait répondre au désir de sa mère, soit d'éliminer de ses ennemis présents dans les pays d'Atyamar, en commençant par une de ses soeurs qui avait déserté les rangs de sa mère.

Une impulsivité fatale

Lorsque la cible fut trouvée, le groupe s'avança vers elle immédiatement sans chercher à savoir de quoi la soeur d'Algok était capable. Malheureusement, ce fut la dernière erreur d'Algok puisque sa comparse était une version de lui-même simplement plus puissante, capable d'éliminer ses ennemis en quelques secondes. Malgré sa défaite face au groupe, elle mis fin aux jours d'Algok durant un combat d'une extrême violence dans les rues de Fribourg, renvoyant l'âme d'Algok en enfer où elle fut détruite de façon permanente par sa mère, déçue.